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Messages

Affichage des messages du juillet, 2015

L'irrésistible attrait du magazine à côté de la caisse

Êtes-vous en situation de stress? Votre stress est-il si important qu'il crée son propre stress et se met à manger pour compenser, devenant par le fait même un gros stress? Rassurez-vous: vous n'êtes pas seul(e). Selon Monde de stars, la bien connue Marilou est elle aussi sujette à un stress souffrant d'embonpoint. Non seulement est-elle "enceinte jusqu'au cou"  (il faudrait peut-être penser consulter un médecin si tel est le cas), mais la parution en septembre de son magazine la force à respecter... une heure de tombée! La pauvre. « Produire et créer un magazine indépendant c'est travailler tard pis toute. C'est aussi savoir que les autres membres de ton équipe travail tard parce qu'on est tous des passionnés (un peu fou). C'est la remise des fichiers dans deux jours. J'ai jamais été au cégep mais j'ai l'impression que je comprend mieux ce que c'est une fin de session maintenant. Lololol » , a écrit la jeune femme. Mais

Lueur d'espoir chez Capitales Médias

Le no uvel édifice journalistique de Capitales Médias, dont le mortier est encore en train de sécher, ne devrait pas s'effondrer de sitôt. Le Devoir  rapportait effectivement, mardi, que l'administration de ce tout jeune group e de presse avait conclu une entente de principe avec les 17 groupes de syndiqués regroupant les six journaux acquis auprès de Gesca en mars . "L’entente de principe, qui prévoit un programme de départs volontaires, doit maintenant être soumise au vote des membres" , écrit Karl Rettino-Parazelli dans le quotidien de la rue de Bleury . Car programme de départs volontaires il y aura: au total une quarantaine de personnes devraient quitter leur poste d'ici la fin de l'année. Pas de surprise de ce côté-là: l'heure est aux compressions dans la quasi-totalité des médias, et à la cure minceur des structures administratives. Faire plus avec moins, toujours. Si les sources du Devoir  ne révèlent pas grand-chose sur les détails de l

Hillary Clinton et le mépris

En sommes-nous rendus là? Il semblerait bien que oui: lors d'un événement de campagne en date du 4 juillet, la candidate à l'investiture démocrate Hillary Clinton a défilé le long d'une rue de Gorham, au New Hampshire, histoire de prendre un traditionnel bain de foule. Jusque-là, pas de problème. Le hic, c'est que les journalistes qui couvraient cette sortie aux allures quasi-présidentielles ont justement eu droit à un traitement quasi-présidentiel: non seulement ont-ils été tenus à l'écart de Mme Clinton, mais l'équipe de celle-ci a poussé l'audace jusqu'à encercler les représentants de la presse avec une corde, créant de fait un enclos mobile qui se déplaçait constamment, histoire de garder les journalistes à distance de la candidate. Est-ce la façon dont les reporters sont considérés de nos jours? Comme du bétail que l'on traîne? Comme ces enfants de la garderie à qui l'on intime de tenir une poignée du "serpent", histoi